« L’université a reçu la mission d’accueillir tous les bacheliers qui souhaitent s’y inscrire. Cette mission ne changera pas : l’université continuera à accueillir tous les bacheliers qui le voudront », introduit Benoit Tock, vice-président Formation à l’Université de Strasbourg. Il répond à certaines questions que soulève la loi ORE.
Pourquoi changer le système d’accès à l’enseignement supérieur ?
Le système actuel est marqué par un taux d’échec impressionnant en première année des études universitaires : 60 % en moyenne à l’échelle de la France, toutes disciplines confondues. Avec un important décrochage dès les premières semaines de cours. Il est vrai que certains étudiants abandonnent pour une bonne raison (par exemple, parce qu’ils ont trouvé un emploi ou réussi un concours). Face à ces résultats, on ne peut pas nier qu’il y a un gros problème d’orientation. Les projets de formation motivés, les fiches avenir, les attendus décrivant les formations, les classements des candidatures…, tout cela contribuera à informer les lycéens et à permettre aux enseignants de lycées et de l’université d’accompagner leur réflexion. De dire à un candidat « Ici tu es attendu à bras ouverts, tu vas t’épanouir » ou « Ici nous craignons que tu aies du mal à réussir ; d’ailleurs si tu viens, nous t’aiderons par des dispositifs adaptés ».
La loi ORE va-t-elle créer la sélection à l’université ?
Non. La sélection, c’est le droit de choisir, de dire oui et de dire non à des candidats. De nombreuses formations d’enseignement supérieur ont ce droit. Les licences et la Paces ne l’auront pas.
L’université a reçu la mission d’accueillir tous les bacheliers qui souhaitent s’y inscrire. Cette mission ne changera pas : l’université continuera à accueillir tous les bacheliers qui le voudront. Il n’est également pas question de trier, l’université n’est pas une gare de triage. C’est tout le contraire ! L’université est et restera plus que jamais un lieu de formation ouvert à tous, à partir du baccalauréat, voire parfois sans bac. Et cela ne changera pas. Même si les taux de réussite des bacheliers pro et techno sont faibles (1 et 9 % en moyenne), nous continuerons à les accueillir. En profitant de la nouvelle loi pour les inciter à s’orienter vers les filières où ils ont le plus de chances de réussite. Et pour mettre à leur disposition un renforcement des formations. Il faut être clair : les licences ne sélectionneront pas. Ce sont même les seules formations supérieures qui ne le font pas, et ne le feront pas.
Allons nous vers une université chère et réservée à une élite ?
Le Plan étudiants lancé par la ministre en octobre dernier, va au contraire dans un sens inverse ! L’inscription à l’université coûtera environ 70 € de moins dès l’année prochaine pour les nouveaux étudiants et le nombre de places a augmenté de 10 % dans notre université.
Et les moyens ? Les universités sont si pauvres…
Clairement, nous sommes candidats pour des moyens supplémentaires ! La France ne dépense pas beaucoup pour son enseignement supérieur, et dans ce qu’elle dépense, les licences pèsent peu face à d’autres formations, c’est incontestable ! Cela dit, tout n’est pas noir, ni même gris.
Depuis sa fusion, en 2009, l’Université de Strasbourg poursuit une dynamique ambitieuse de projets et fait profiter de son excellence en recherche scientifique à toute la communauté universitaire, y compris aux étudiants de première année. Pour cela elle crée de nouvelles formations. Elle construit un Studium, qui regroupera vie étudiante, bibliothèques… Elle rénove la Faculté de droit. Elle entreprend la rénovation du Patio. Elle va bientôt entamer la construction d’un nouveau centre sportif, lorsque d’ici deux ans environ le Platane aura pu être détruit.
Concrètement, pour le Plan étudiants et la loi ORE, ce sont plusieurs centaines de milliers d’euros que le ministère nous donne, ainsi que plusieurs enseignants supplémentaires. Pas assez, c’est vrai, mais pas mal quand même.
Un certain nombre de questionnements se sont fait jour après la mise en ligne d’une consultation visant à approuver ou non les blocages. L’université réaffirme le caractère anonyme de cette consultation, dont sont ici rappelées les modalités de mise en œuvre.
Lancée lundi 16 avril, en fin de journée, jusqu’à mercredi 18 à 8 h, la consultation relative aux blocages de bâtiments à l’université a été adressée par courriel aux 52 000 étudiants de l'Unistra.
Cette consultation a été mise en place grâce à l'outil de sondage Limesurvey, régulièrement utilisé pour les enquêtes à l’université (exemple : vote pour le prix Louise-Weiss).
Inscrite au registre des traitements Informatique et libertés de l’université, cette consultation a fonctionné au moyen de jetons de sécurité, appelés « token ». À partir de chaque courriel était générée une URL unique, permettant d’accéder au formulaire de vote. Une sécurité maximale est ainsi assurée, l’URL une fois utilisée pour voter ne pouvant être utilisée une seconde fois.
« L'envoi de cette consultation aux étudiants via leur adresse de courriel, créée au moment de leur inscription, nous permet de nous assurer que ce sont bien les étudiants qui ont accédé au lien et donc voté, et pas des personnels ou des personnes extérieures à l'université », explique Sarah Piquette, Correspondante informatique et liberté (CIL) de l’université.
Grâce à ce mode de fonctionnement, des statistiques de vote ont pu être établies (nombre total de votants, nombre de votes « pour », « contre » et « ne se prononce pas »), mais en aucun cas on ne peut rattacher tel ou tel contenu de vote à tel ou telle adresse de courriel. « On sait que tel ou tel étudiant a répondu mais pas ce qu’il a répondu », résume la CIL. C’est donc la même garantie d’anonymat que pour un vote « papier ».
Nous avons des opinions diverses sur la politique suivie par le gouvernement en matière d'enseignement et de recherche ; nous avons des appréciations variées sur la loi Orientation et réussite des étudiants (ORE) promulguée au début de cette année. Nous dirigeons des structures universitaires (facultés, unités de formation et de recherche, instituts, écoles, centres universitaires) et avons pris ces responsabilités au sein de l'Université de Strasbourg parce que nous avons la conviction que l'enseignement supérieur et la recherche sont des vecteurs d'émancipation individuelle et collective.
Ce qui nous conduit à partager les objectifs suivants :
- assurer à nos étudiants des formations de qualité leur apportant des connaissances et des compétences de haut niveau ;
- le faire dans le cadre d'un service public dont l'honneur est d'être largement accessible, sans barrière liée au milieu social, au sexe ou à la nationalité des étudiants ;
- tenir compte de la diversité des étudiants, tout particulièrement de ceux inscrits en première année, afin d'offrir à chacun une formation adaptée.
Ces objectifs valent pour les étudiants qui ont exprimé le souhait de s'inscrire dans l'une des formations de l'Université de Strasbourg par le biais de la plateforme Parcoursup et c'est dans ce cadre que les équipes universitaires ont travaillé à l'offre de formation pour les années prochaines.
Ils valent aussi pour les étudiants déjà inscrits qui sont en train de terminer leur année universitaire. C'est pourquoi nous refusons le blocage des bâtiments universitaires : il est important que ces étudiants puissent terminer normalement ce semestre et passer les examens.
Nous savons que la loi ORE, et d'autres projets, entraînent des oppositions et des contestations. C'est légitime dans une démocratie. Mais il n'est pas légitime que ces oppositions se traduisent par une volonté de blocage généralisé de l'activité universitaire, gênant sérieusement la poursuite d'études et l'activité professionnelle des personnels de l'université.
Sylvie Bégin, directrice de l’Ecole européenne de chimie, polymères et matériaux (ECPM)
Vincent Blanloeil, directeur de l’UFR de Mathématique et informatique
Anne Bandy Scubbi, doyenne de la Faculté des langues
Jean-Daniel Boyer, doyen de la Faculté des sciences sociales
Frédéric Chapot, doyen de la Faculté des lettres
Philippe Clermont, directeur de l’Ecole supérieure du professorat et de l’éducation (Espé)
Christophe Collet, directeur de Télécom physique Strasbourg
Pierre-Alain Duc, directeur de l’Observatoire astronomique de Strasbourg
Gabriel Eckert, directeur de Sciences po Strasbourg
Denis Fricker, doyen de la Faculté de théologie catholique
Nicole Gauthier, directrice du Centre universitaire d’enseignement du journalisme (Cuej)
Christophe Geiger, directeur général du Centre d’études internationales de la propriété intellectuelle (Ceipi)
Jean-Pierre Gies, doyen de la Faculté de pharmacie
Rémi Gounelle, doyen de la Faculté de théologie protestante
Claude Guittard, doyen de la Faculté des sciences économiques et de gestion
Alexandra Knaeble, directrice de l’IUT Louis-Pasteur
Bernard Lickel, directeur de l’IUT Robert-Schuman
Pierre Litzler, directeur de la Faculté des arts
Eva Louvet, doyen de la Faculté de psychologie
Jean-Yves Marc, doyen de la Faculté des sciences historiques
Frédéric Masson, directeur de l’Ecole et observatoire des sciences de la terre (Eost)
Jean-Yves Mérindol, administrateur provisoire de la Faculté des sciences du sport
Jacky de Montigny, doyen de la Faculté des sciences de la vie
Abdel-Mjid Nourreddine, directeur de la Faculté de physique et d’ingénierie
Georges Orfanoudakis, directeur de l’Ecole supérieure de biotechnologie de Strasbourg (ESBS)
Jean-Marc Planeix, directeur de la Faculté de chimie
Jean-Materne Staub, directeur de l’Institut de préparation à l’administration générale (Ipag)
Strasbourg, le 19 avril 2018
L’Université de Strasbourg connaît depuis le 22 mars une situation mouvementée inhabituelle. Des étudiants, avec aussi parfois des enseignants-chercheurs et personnels, contestent la loi Orientation et réussite étudiante, dont le dispositif le plus connu est la mise en place de la nouvelle plate-forme Parcoursup. Cette loi va s’appliquer aux futurs bacheliers et étudiants à partir de la rentrée prochaine.
Ces mobilisations ont commencé le 22 mars par une occupation en pleine journée d’une salle du Palais universitaire. La direction de l’université avait accordé aux étudiants la possibilité de l’utiliser, à condition qu’ils libèrent les lieux à 20 h. Ce jour là, puis le 4 avril, compte tenu de l’occupation après l’heure de fermeture du bâtiment, les forces de l’ordre sont intervenues, sur demande de l’université, pour libérer les locaux après cette heure, afin d’assurer la sécurité des personnes et des biens.
Depuis le 2 avril, des étudiants se dénommant « AG en lutte » ont bloqué principalement les bâtiments Patio et Nouveau Patio, mais aussi à différents moments d’autres bâtiments du campus Esplanade ou du campus historique. À deux reprises, des étudiants opposés aux blocages ont levé les barrages la nuit, mais d’autres étudiants les ont remis au petit matin. D’autres bâtiments ont subi des situations particulières, ainsi l’Institut Le Bel, où n’étaient autorisées à rentrer que les personnels sur présentation de leur carte professionnelle.
Une situation qui n’est pas sans conséquences
Cette situation a des répercussions sur la vie et le travail de plusieurs services centraux et de facultés, ainsi que sur la présidence et la direction générale de l’université. Les personnels concernés ont été accueillis de façon temporaire par d’autres services ou autorisés à télé-travailler : 250 personnes au moins ont été directement impactées dans leur travail.
La situation a également des répercussions sur les cours et les examens du second semestre. Directions centrales et composantes coopèrent pour assurer la continuité de service public et relocaliser les examens. La présidence de l’université tient en effet à « assurer la liberté d’enseigner, de travailler, de circuler, de passer des examens, ainsi que de s’exprimer dans un débat serein et contradictoire ».
Face à cette situation de blocage, le président Michel Deneken a souhaité proposer à l’ensemble des étudiants d’apporter leur point de vue sur la situation, par l’intermédiaire d’une consultation en ligne. Cette consultation s’est déroulée du lundi 16 avril, à 18 h 30, au mercredi 18 avril, à 8 h. 16 272 étudiants (31 % des étudiants) ont y ont participé : 11 976 se sont exprimés contre les blocages (71,88 %), 3 000 en faveur des blocages (18,44 %) et 1 576 ne se sont pas prononcés (9,69 %).
À l’issue de la consultation, Michel Deneken a appelé « les étudiants à entendre ces résultats, à respecter la démocratie » et s’est redit ouvert au dialogue : avec les étudiants élus aux conseils centraux, mais aussi proposant de recevoir trois ou quatre représentants des étudiants « AG en lutte ». À ce jour, seuls les élus étudiants de l’Afges et de l’UNI au Conseil d’administration et à la Commission de la formation et de la vie universitaire ont répondu à son invitation.
Enfin, une conférence-débat, animée par quatre vice-présidents (Elisabeth Demont, François Gauer, Yves Larmet, Benoit Tock) s’est déroulée mardi 17 avril, à 17 h, sur le thème « Que dit la loi ORE ? Comment sera-t-elle appliquée à l’Université de Strasbourg ? ».
Jeudi 19 avril, après la manifestation nationale, quelques dizaines de personnes ont décidé de rester dans le bâtiment de l’UFR de Mathématiques et informatique/Eost après son heure de fermeture, en indiquant vouloir l’occuper. À la demande du président, les forces de l’ordre sont intervenues dans le calme en dirigeant les occupants vers l’extérieur du bâtiment.
Armelle Tanvez
Vingt-quatre agents forment la Direction des relations internationales (DRI) de l’université. Leurs missions : organiser et gérer la coopération internationale, la mobilité des étudiants et des personnels. Le service vient d’être réorganisé : tour d’horizon avec sa directrice, Rachel Blessig.
Quelles sont les missions de la Direction des relations internationales ?
La mission générale consiste simplement à mettre en œuvre la politique de relations internationales de l’université, notamment en faisant vivre la coopération internationale, mais aussi en participant à la construction de l'espace européen de la recherche et de l'enseignement supérieur. Concrètement, cela se traduit par différentes missions et métiers, qui vont de l’organisation et la gestion du financement des mobilités étudiantes et personnels de l’université, en Europe et partout ailleurs dans le monde, de l’accompagnement des porteurs de projets à l’international, de la participation à différents réseaux internationaux dans le monde de l’enseignement supérieur et la recherche.
Vous êtes directrice du service depuis octobre 2016 et vous venez d’achever sa réorganisation. Quelle logique vous a guidée ?
L’objectif de cette réorganisation était avant tout de passer d’une logique de gestion à une dynamique de coopération internationale au sein du service, mais aussi dans les relations aux composantes, aux équipes de recherche, aux établissements étrangers. Dans le même temps, je souhaitais à la fois prendre en compte des demandes exprimées par les agents (fluidifier la communication, faire évoluer les responsabilités, travailler en transversalité sur certains projets, garantir la continuité de service) et garantir la gestion du contrat Erasmus+. Ce contrat d’un montant de 1,3 million d’euros par an, qui finance de nombreuses mobilités d’étudiants et de personnels en Europe, est soumis à une forte obligation de résultat : 97 % du prévisionnel de l’année en cours doit être consommé pour obtenir des crédits l’année suivante. Autant dire qu’il faut être efficace dans sa gestion et son suivi, c’est pourquoi il était important de lui consacrer une équipe dédiée.
On est donc passé d’une organisation en deux départements à une organisation en cinq pôles rattachés à la directrice. Neuf agents ont changé de responsable hiérarchique direct, trois agents supplémentaires ont été recrutés : deux gestionnaires au pôle Erasmus+ et un chargé de communication (pôle administratif). Nous sommes 24 personnes dans le service, répartis sur deux sites, le Patio et la Maison universitaire internationale. Parallèlement, le portage politique des relations internationales a aussi évolué avec l’élection d’Irini Tsamadou-Jacoberger à la vice-présidence et la création de deux vice-présidences déléguées.
Concrètement, comment se répartissent les ressources humaines et les missions ?
Six personnes travaillent dans le pôle Erasmus+, avec les contraintes déjà évoquées. Trois personnes dans le pôle Mobilité hors Erasmus+, qui organise la mobilité hors du champs d’Erasmus+, en Suisse, dans le cadre d’Eucor - Le Campus européen, dans le reste du monde… Il gère aussi les bourses de mobilité spécifiques (Eiffel, ministère des affaires étrangères) et organise la mobilité étudiante dans le réseau américain Maui pour le compte du réseau Utrecht. Deux personnes représentent la DRI au sein du Pôle unique d’ingénierie (Bureau Europe international formation), et accompagnent donc des porteurs de projets financés à l’international. Ce bureau coordonne également le dispositif de soutien à la mobilité de l’université.
Quatre agents forment le pôle Coopération internationale, dont la mission consiste à suivre les accords internationaux de coopération. La coopération est suivie depuis l’idée initiale jusqu’à son évaluation, en passant bien sûr par la rédaction de l’accord, sa présentation à la CFVU, etc. Ce pôle travaille également à un bilan de l’activité internationale de l’université dans telle ou telle région du monde. Il fait aussi de la veille réglementaire.
Enfin, neuf personnes travaillent au sein du Pôle administratif du service, qui est une sorte de service support : assistantes de directions, chargés de communication, coordonnateur du logiciel MoveOn….
Quels seront vos principaux projets à court et moyen termes ?
Nous allons faire un gros effort de travail sur les chiffres, afin de rendre visibles les activités de relations internationales de l’université, au delà de ce qui est géré par la DRI. Nous souhaitons aussi mettre en relation les différents acteurs des relations internationales à l’université, c’est pourquoi, à la DRI, pour une majorité de composantes, nous avons désigné un interlocuteur unique, indépendamment des pôles. L’objectif est à la fois de dynamiser les actions de relations internationales et aussi de les mettre davantage en cohérence sur certains territoires.
Propos recueillis par Caroline Laplane
L’École européenne de chimie, polymères et matériaux (ECPM), organisatrice de la manifestation dans le département, a accueilli la cérémonie de remise des prix des 34es Olympiades nationales de la chimie. Son thème, cette année : « Chimie dans la ville ».
22 élèves de terminale bas-rhinois s’étaient lancés dans l’aventure (lycées Adrien-Zeller de Bouxwiller, Jean-Baptiste-Schwilgué à Sélestat, LEGTA d’Obernai, Georges-Imbert de Sarre-Union, Fustel de Coulanges et le lycée international Les Pontonniers, à Strasbourg). Ils furent tous à l’honneur et primés lors de cette cérémonie, qui s’est déroulée en présence de Michel Deneken, président de l’Université de Strasbourg et David Saglamer, conseiller régional représentant la Région Grand Est, partenaire de l’événement.
La première journée a permis de souffler les bougies, de retracer l’histoire et d’aborder le futur de cet institut. Les deux autres journées ont été consacrées à des échanges plus scientifiques sur les avancées récentes de la physique et de la chimie des matériaux. Retour sur cet événement et sur les activités de l’IPCMS avec son directeur, Pierre Rabu.
Le département Génie électrique et informatique industrielle (GEII) de l'IUT de Haguenau, représenté par Salomé Laurier, Warda Mekrami et Guillaume Blein, étudiants de deuxième année de DUT, a participé aux Olympiades Intégration commande numérique Fanuc, à Lisses, en région parisienne début avril. Ce concours national est organisé par Fanuc, société spécialisée en commande numérique et robotique.
Lors de la finale des olympiades, à Lisses, le 3 avril dernier, les trois étudiants ont su s’imposer et décrocher brillamment la victoire, grâce au grand professionnalisme dont ils ont fait preuve en réalisant un score de 114 points sur 130 possibles au terme de quatre épreuves de programmation de plus en plus complexes.
Avril | Mai | |
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Conseil académique (CFVU+CR) 14 h - Mardi | / | / |
Congrès (CA+CFVU+CR+CTE) 14 h - Mardi | / | / |
Conseil d'administration (CA) 14 h - Mardi | 10 | 29 |
Commission de la formation et de la vie universitaire (CFVU) 14 h - Mardi | 17 | 22 |
Commission de la recherche (CR) 14 h 30 - Mercredi | 4 | / |
Conférence des directeurs de composantes 14 h 30 - Mardi | 3 | 15 |
Conférence des directeurs des unités de recherche 10 h - Vendredi | 13 | / |
Réunion des responsables administratifs de composantes et des chefs de services centraux 9 h - Lundi | / | 14 |
Comité d'hygiène, de sécurité et des conditions de travail 14 h - Lundi | / | / |
Comité technique d'établissement (CTE) | 19 | / |
Conseil académique restreint (CACr)* | 20 | / |
Conseil d'administration restreint (CAr)** | 20 | / |
* A 9 h | ||
** A l'issue du CACr |
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